Le côté sombre de Montréal, 514, know Iâm sayin.
Hostile sauf quand le buzz est allumé.
Je l'ai vu, tu lâas vu, on lâa vu.
Le bizness illégal, c'est ça qui contrôle la rue,
La violence, le sexe, la drogue et tout ça pour lâargent.
Dans le territoire hostile tout s'achète et tout se vend.
Hey, yo, back in the days yâa un black qui s'apâllait Pat.
Y pensait quây'étais phat, rude byoye dilleur de crack.
Toujours les grosses marques,
Un jollet de la haute classe et grâce à sont sérieux c'tait chill pas trop d'obstacle.
Pas trop dâconflits, chaques jours des gros profits.
Jusqu'au jour où il commence à pop-off son produit, pauvre luiâ¦
C'est là où la fête s'arrête.
Respect ! Si tu payes ta dette ou bien ont fait tas tête, get !
Entouré dâproblèmes, pogné au centre.
Y savait pu quoi faire, y parlait dâvoler une banque.
Mais c'tais déjà trop tard, il sont venu, il sont partie.
Yâont prit tout câquây possédait, en plus yâont prit ca vie.
Car dans ce bizness, negro, des fois les choses vont mal.
Faut être professionnel, sinon ça sâras la pierre tombal.
Penses deux fois, quâest-ce qui peux, yo çâpas un jeux d'enfants
Et dans le territoire hostile, les gens pour l'argent,
Yo ils sont :
Refrain :
Prêt à mourir, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir yo.
Prêt à mourir, yo, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir.
Maintenant Mélanie, Jay-Jay, une mienne réalité.
Une princesse à la recherche de son identité.
Fille à marié, toujours à la caille,
Mais de plus en plus, elle fréquentait les rudes byoyes.
Au début, c'était bien chill, elle se faisait traiter comme une sÅur,
Mais plus elle se faisait tailler, plus elle perdait dâla valeur.
Yo, inâtais phat quand même, y'avait rien dâmieux.
Alors y'ont décidé dâla faire travailler pour eux.
Innocente comme elle était ; elle a dit oui même sans penser.
Ils l'ont déshabillé, ensuite ils l'ont fait danser.
Deux semaines plus tard, ils l'ont costumé,
Tallons hauts, petite jupe, dasper prostituer.
Dans ce bizness, des fois, les choses vont mal.
Si t'es rentable pis tu veux tâflex, on tâdonne la pierre tombal.
Yo, si tâsais pas c'est quoi, associes-toi pas avec c'est gens.
Car dans le territoire hostile la valeur c'est l'argent et ils sont :
Refrain :
Prêt à mourir, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir yo.
Prêt à mourir, yo, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir.
Réginal, lui c'tait un bad byoye, réputé : prêt à mourir, prêt à tuer.
Le cauchemars Américain, jeune fuck-up non éduqué.
Vagabond, sans lâsal, mal élevé,
Le plus important pour lui c'tait son respect,
Tu l'énervais pis, chak ! Y tâlaissait près du décès.
J'le connaissais comme ça, what's up, quand on sâvoit.
Pas plus, car y'était un peu trop fucked-up pour moi.
J'y disais dâsâcalmer, lui pensait jamais sâfaire prendre.
Mais yâa une coupe d'années, le negro s'est fait descendre.
Ce qui devait arriver, malheureusement est arrivé.
Y s'est fait tirer, en plus paralysé.
Gun shot dans ses jambes, dans son sexe, dans son ventre.
Jâsai quây regrette, car là yâest en chaise roulante.
Faut toujours savoir avec qui tu fais ton mimes,
Car yâa plus qu'un fucked-up dans le territoire hostile et ils sont :
Refrain :
Prêt à mourir, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir yo.
Prêt à mourir, yo, prêt à tuer.
Hostile, sauf quand le buzz est allumé.
La vie dâla rue : rien pour te faire sourire.
Territoire hostile, faut toujours être prêt à mourir.
Yo, j'me rappelle des Bélangers sans oublier les Masterpieces,
C'tait comme les tontons ma toute de Montréal, quand j'étais p'tit.
Aujourdâhui, les gangs, yo, yâen a plein.
S'procurer un fling, c'est comme du bonbon au magasin.
Pour tout lâmonde, vagabonds autant quâles policiers,
Faut pas les sous estimé car c'est du crime organisé.
Mais j'ai rien contre ça, yo, j'ai pas vraiment d'objection
Car la gang c'est comme famille et famille c'est protection.
Le seul problème, c'est quâla guerre ne finit jamais
Et la vengeance gagne toujours facilement par-dessus la paix.
Yo, dans le territoire hostile yâen a qui deviendront tueur.
J'ne suis pas un gars dâgang, mais j'en connais plusieurs.
J'peux vous dire que dans ce bizness, des fois, les choses vont mal.
J'parle pas d'ailleurs, ya, j'parle d'ici à Montréal.
Sauf si tu marches avec eux, byoye, n'essaye pas de courir.
Et si tu vis avec eux, j'espère que tâes prêt à mourir.
La vérité choque, si tu nâveux pas la savoir,
Mais si tu l'ignores, un jour tu vas tâfaire avoir.
Et surtout nâpense pas quâça nâpeut pas t'arriver,
Car c'est la lois dâla rue et la rue c'est sans pitié.
La vérité choque, si tu nâveux pas la savoir,
Mais si tu l'ignores, un jour tu vas tâfaire avoir.
Et surtout nâpense pas quâça nâpeut pas t'arriver,
Car c'est la lois dâla rue et la rue c'est sans pitié.
Tellement c'est chaud, j'me gèle parce que j'ai pas le choix dâgarder la tête froide.
Yes men muzion ben chu bel goid.